Avec le vent, avec le vent va tout s'en va ...

photo©vincent3m
Pour une fois, vais-je me laisser aller à de l'optimisme béat ? Peut-être pas mais ce bel automne qui se profile avant l'été indien me fait comme une impression de printemps... Un certain nombre de mes amis s'époumonent et continuent à crier haro sur le baudet alors que finalement, la baudruche est sur le point de se dégonfler toute seule ! Ben oui ! Comme n'importe quel ballon surgonflé, il va péter et puis voilà ! Il ne pouvait pas en être autrement ! C'est comme un moteur qui tournerait en permanence en surrégime ! Il pète ! Dépasser la zone rouge (ou passer la ligne blanche) sans discontinuer ce n'est pas risqué, c'est suicidaire ! Eh ben voilà ! On y est arrivé !
Mais de quoi c'est-y qu'il cause ? Mais de Roquet 1er bonnes gens ! C'est comme un fruit pourri ! A la fin il tombe par terre et, comme le fumier, sert d'engrais ! Regardez les sondages, les affaires, les scandales ! A force de tirer sur la ficelle, ça pète ! C'est mécanique !
C'est surtout significatif du sentiment d'impunité maladif qui habite le psychopathe qui a été élu par quand même 52% de bons et loyaux voisins... "Un type comme moi ne peut pas échouer !" se répète-t-il tous les matins en se rasant ! C'est la raison pour laquelle, dès que le fruit sera à terre, il faudra sacrément se méfier de ses réactions, comme le sanglier blessé ! (mes excuses à ces sympathiques amuseurs de chasseurs)  Mais quand même,  allez, d'accord, on secoue encore un peu la branche pour accélérer la chute du fruit mais après, ne boudons surtout pas notre plaisir de le regarder tomber, s'écraser par terre en éclaboussant le sol de sa moisissure avancée ! !